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Nouvelles du jour
ATTENTION
Les portefeuilles montrés ici-bas et dans ce site ont exclusivement un but éducatif afin
d’apprendre à créer et à utiliser la fonction d’Unisearch de VectorVest.
Toutes autres interprétations seraient fausses.
Notre prochaine rencontre
C’est mardi le 24 octobre qu’aura lieu notre prochaine rencontre de la nouvelle saison. Il est important que vous veniez nombreux pour que notre restaurateur sente que l’on est reconnaissant. N’oubliez pas qu’il engage deux personnes avant et après notre présence pour réaménager notre salle de réunion.
C’est toujours Chez Mikes sur l'Ormière. Pour plus de détails, voir Info pour les rencontres sous l'onglet Le User Group.
2017-10-13
J’ai fait une mise à jour des graphiques pour les stops des trois Split-Shares que nous suivons en relation avec leur NAV. Voir les images rotatives ci-après. Deplus avec un peu de retard, j'ai inscrit le résumé de notre drenière rencontre du 24 septembre.
Concours
de VectorVest
N’oubliez pas le VectorVest Portfolio Challenge qui
va s’étendre du 30 octobre au 30 décembre.
Il y a chaque jour un boot camp de 11h30 à 12h00 est les sessions sont
archivées sur leur site. www.vectorvest.com/Bootcamp.
Vous avez jusqu’au 23 octobre pour vous inscrire. Pour
plus de détails voire la vidéo suivante.
Le résumé de notre dernière rencontre est sur notre site Web sous l’onglet Le User Group, Résumé des rencontres.
Tout le monde est bienvenu, que vous utilisiez ou non VectorVest.
Pour plus d'information sur les portefeuilles, cliquez sur l'icône en entête.
Les Market calls de VectorVest
Vous trouverez ci-après les nouvelles du jour tel que colligé tôt le matin. Ça pourrait donner le ton au marché boursier pour la journée. Je vais les ajouter chaque jour avec les plus récentes au début. À la fin de la semaine, je vais les déplacer dans l'historique.
L’historique de toutes les pages des nouvelles, qu’elles soient quotidiennes ou hebdomadaires, se trouve dans les Pages d’archives dont le lien est indiqué ci-après.
Qu'est-ce qu'il se passe aujourd'hui
Vendredi 20 octobre 2017 .
Trump et le Buy american
De nombreux pays à travers le monde qui sont membre de l’OMC (Organisation mondiale du commerce) qui compte près de 50 pays unissent leurs voix pour dénoncer le décret de Trump. Il demande à tout l’appareil gouvernemental de maximiser les achats de biens, de produits et de matériel provenant des États-Unis.
En vertu de l’accord qui lie tous les pays membres, les signataires sont tenus de maintenir leurs marchés d'approvisionnement gouvernementaux ouverts à la compétition étrangère, tout en les rendant plus transparents.
C’est justement cette entente sur le pacte de l’automobile que Trump veut remettre en question.
George W. Bush dénonce Trump sans directement prononcer son nom
Dans un discours fait hier, l’ancien Président, pourtant républicain, a critiqué ouvertement les approches de Trump sur la mondialisation, la santé, l’immigration, l’isolationnisme. Un beau discours que même le sénateur John McCain a tenu à féliciter M. Bush.
Une règle qui existe est qu’un ancien président ne critique pas un président en poste. Dans son discours, George W. Bush n’a jamais prononcé son nom, mais il a dénigré toutes ses politiques.
Obama lance aussi des flèches à Obama
Lors d’une réunion pour l’élection du gouverneur de la Virginie, Obama a lancé quelques flèches contre la façon de faire de Trump sans jamais le nommer. Il a dit que « Si pour remporter une campagne on doit diviser la population, alors on ne sera pas capable de la gouverner », et il ajouté « Notre valeur est au plus haut non pas quand nous rabaissons les gens, mais quand nous essayons d'élever tout le monde ensemble ».
La patience de Tillerson
Le secrétaire d'État, Rex Tillerson, a signalé l'impatience grandissante des États-Unis à l'égard de la Chine sur les questions du commerce avec la Corée du Nord, tout en promettant de rester au travail tant que le président Donald Trump voudra de lui.
Au cours d'une interview de 30 minutes au département d'État, Tillerson a également montré un pessimisme croissant sur la possibilité d'une résolution rapide d'une confrontation entre le Qatar et un groupe de nations dirigé par l'Arabie saoudite.
Et il a déclaré qu’il a la peau épaisse et que l’armure qu'il a développée en tant que PDG d'Exxon Mobil, l'a aidé à ignorer les tensions avec Trump et rapporte qu'il a envisagé de démissionner pour des différends avec le président. "Je suis motivé pour servir le pays et servir ce président, et jusqu'à ce que quelqu'un me dise que vos services ne sont plus nécessaires ou désirés, c'est ce que je vais continuer à faire", a déclaré Tillerson, 65 ans.
Bill Morneau cède sous la pression et se départit de ses actions
La grogne qui s’était élevée contre Bill Morneau, notre ministre des Finances a fini par avoir raison. Il va se départir de toutes les actions de la compagnie familiale alors que les questions sur ses finances personnelles assombrissaient les perspectives de réforme du gouvernement canadien. Il va mettre toutes ses actions d’une compagnie familiale, Morneau Shepell Inc, travaillant dans les ressources humaines, dans une fiducie sans droit de regard.
Nemaska Lithium
Nemaska Lithium semble avoir envie de partir à la hausse. Il faut dire que tout le secteur du lithium est en forte hausse. Disons que depuis son creux de juillet, NMX a fait un gain de 70,93%. On en reparlera mardi soir prochain lors de notre prochaine rencontre du User Group.
Un nouveau président pour la FED
Depuis quelques semaines, il y a beaucoup de spéculations qui courent à savoir qui prendra la direction de la FED. Le mandat de Jeannet Yellen se termine en février. En théorie, Trump aurait pu lui demander si elle voulait faire un autre terme, mais il trouvait qu’elle n’était pas assez rapide pour augmenter les taux d’intérêt. Actuellement, il ne resterait que deux candidats possibles, soit Jerome Powell un gouverneur de la Réserve fédérale et John Taylor un économiste de Stanford.
Un budget américain pour 2018 grâce à une procédure spéciale
Le Sénat a adopté hier une résolution sur le budget 2018 que les dirigeants de la Chambre des députés ont accepté. L'approbation finale de la mesure permettra aux républicains de passer une réécriture du code fiscal sans le soutien des démocrates dans le cadre d'une procédure spéciale. C’est un processus du sénat que je ne connais pas.
Il y aura des élections au Japon en fin de semaine
Les derniers sondages montrent que le premier ministre Shinzo Abe risque de perdre sa majorité des deux tiers qu’il détenait. Ce qui va rendre beaucoup plus difficile sa réforme constitutionnelle qu’il voulait mettre en place.
Jeudi 19 octobre 2017 .
Les impacts sur l’industrie de l’automobile de l’annulation de l’ALENA
Aujourd'hui, les automobiles peuvent circuler entre le Canada, le Mexique et les États-Unis sans droits de douane, dans la mesure où elles sont fabriquées avec un contenu de 62,5 % provenant des trois pays. En essayant de renforcer cette exigence et d'ajouter une règle spécifique aux États-Unis, Trump compte que certains des emplois de fabrication des automobiles qui ont traversé les frontières reviendront, faisant ainsi des États-Unis « la capitale mondiale de la voiture ».
Cela peut ne pas se passer comme prévu. Si Trump devait changer l’ALENA pour augmenter la part américaine sur le contenu d’une voiture, les constructeurs automobiles mexicains pourraient simplement payer un tarif de 2,5% plutôt que de construire aux États-Unis.
C’est le statut de nation privilégiée, que le Mexique et le Canada ont avec les Américains. Et pour imposer un tarif plus élevé, Trump devra sortir de l’ALENA et de l’OMC (Organisation mondiale du commerce), qui compte 150 pays.
GM et Chrysler ont fait des extrapolations pour voir comment ils pourraient se plier à ce changement. Ils rapatrieraient la fabrication des moteurs et des transmissions aux États-Unis, mais la nouvelle usine coûterait plus de 1 milliard et certaines autres parties seraient transférées au Mexique. Donc, beaucoup plus simple de payer une surtaxe de 2,5%.
Il n’y a que les camions où ça risque de coûter plus cher, soit une surtaxe de 25%, due à une ancienne loi votée en 1960 et appelée Chicken Tax.
Une avenue qui est également regardée, est la fabrication de ces autos ailleurs dans le monde où ça coûterait pas mal moins cher et payer la surtaxe de 2,5%. Chose certaine, Trump va sortir perdant de même que les États-Unis. C’est là que l’on voit que Trump ne comprend rien à l’économie et aux traités internationaux.
Parut ce matin
Des spécialistes disent que l'effondrement de l'Accord de libre-échange nord-américain risquerait vraisemblablement de nuire à l'économie et aux modèles commerciaux des entreprises mondiales du continent.
Sans l’ALENA, les États-Unis et le Mexique se factureraient mutuellement les tarifs plus élevés qu'ils imposent maintenant aux autres membres de l'Organisation mondiale du commerce. Ceux-ci atteignent 7% en moyenne au Mexique et 3,5% aux États-Unis, bien que le Canada et les États-Unis puissent se rabattre sur un accord de libre-échange avant l'ALENA.
Une augmentation des droits pourrait potentiellement nuire à la croissance, coûter des emplois et stimuler l'inflation pour les trois pays selon Bloomberg Intelligence et Moody's Analytics, prédisant que le Mexique serait le plus durement touché.
Airbus va favoriser le CSeries à la place de son A319neo
Airbus a un avion le A319 qui est un peu plus petit que le CS300. Son nouvel avion a des difficultés pour la mise en marché. Alors, Airbus va plus tôt pousser la vente de du CS300 qui semblerait avoir un avenir prometteur. Ils pensent que ce modèle plus le CS100 vont faire un malheur sur les marchés.
L’entente Airbus-Bombardier pourrait prendre de 6 à 12 mois ou plus pour se conclure. Ce qui va permettre à Airbus de voir comment intégrer la technologie de pointe du CSerie.
Madrid veut en finir avec le séparatisme catalan
Le Premier ministre Mariano Rajoy déploiera les pouvoirs constitutionnels les plus étendus du gouvernement espagnol pour la première fois dans l'histoire du pays alors qu'il cherche à porter un coup décisif au mouvement séparatiste catalan.
Les actions et les obligations espagnoles ont chuté lorsque le gouvernement de Rajoy a annoncé qu'il allait aller de l'avant avec le processus de suspension des pouvoirs de l'administration catalane après que le président régional Carles Puigdemont ait refusé d'abandonner sa revendication d'indépendance.
Le gouvernement espagnol a publié jeudi matin une déclaration invoquant l'article 155 de la Constitution "pour rétablir la légalité" de la région semi-autonome.
Le gouvernement américain s’en va vers un arrêt complet
Les combats les plus divisant de l'année au Congrès devraient converger dans un affrontement amer entre les partis en décembre qui pourrait entraîner la fermeture du gouvernement américain.
Les batailles non résolues telles que le mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, l'immigration, les subventions pour les soins de santé, le planning familiale et l'aide aux tempêtes, planent sur les pourparlers pour accéder aux budgets requis avant le 8 décembre. Faire passer ces lois autorisant ces énormes dépenses, risque de devenir tellement lourd et compliqué que toutes ces demandes risquent de s’effondrer dans une confrontation.
"La liste des choses qu'ils veulent ajouter grandit chaque jour", a déclaré Jim Dyer, ancien directeur du personnel républicain du Comité des Crédits de la Chambre.
Même sans des questions litigieuses, remplir une facture de dépenses d'un trillion de dollars à temps serait une tâche très difficile.
Le plafond de la dette est valide jusqu’au 8 décembre. Cette date butoir avait été prolongée de trois mois par un décret signé le 8 septembre par le président Trump. Pour dépasser le plafond de la dette du fédéral, le Congrès doit relever ce plafond et adopter un nouveau budget avant le 8 décembre.
Les Hight tech à risque, mais elle continue à battre des records
Facebook inc. et Google sont accusés d'avoir aidé la Russie à faire élire Donald Trump, et il y a des appels pour restreindre leur influence croissante. Amazon.com inc. est obligé de forcer ses clients à payer plus de taxes de vente. Le gouvernement chinois refuse d'utiliser les dernières offres Windows de Microsoft Corp., et Apple inc. fait face à une facture fiscale de 13 milliards d'euros.
Partout où vous regardez, le risque lié à la réglementation de la technologie abonde. Pourtant, les investisseurs ne perdent pas le sommeil. Les parts de Facebook, de Google, et de Microsoft ont atteint de nouveaux records cette semaine, tandis qu'Amazon et Apple sont proches des plus hauts historiques. Ils occupent les cinq premières places dans les rangs des plus grandes sociétés américaines par capitalisation boursière. En hausse de 34% cette année, les 800 milliards de dollars qu'ils ont ajoutés en valeur sont presque égaux à la valeur combinée des cinq plus grandes entreprises au bas du marché baissier en 2009.
Mercredi 18 octobre 2017 .
L’ALENA sur la voie d’évitement
Comme je le disais hier, les demandes exagérées des Américains ont exaspéré la patiente des négociateurs mexicains et canadiens. Tous les deux ont fait des déclarations publiques dénonçant les demandes absurdes des Américains. Ils ont dit que les négociations se poursuivraient au moins jusqu’au mois de mars 2018, abandonnant la date du 31 décembre. Ils ont également dit que les rencontres seront plus espacées afin de mieux étudier les contre-propositions. Puis ils ont ramassé leurs p’tits et ils ont quitté Washington.
La ministre canadienne Freeland a critiqué la mentalité américaine que le gagnant prend tout. Elle a ajouté que l’entente devrait bénéficier aux trois pays au lieu d’avoir une approche qui cherche à saper l’accord plutôt que de la moderniser. Le graphique suivant montre les principaux pays vers où les États-Unis exportent.
Ils devraient en principe se revoir à Mexico du 17 au 21 novembre.
Trump frappe encore un mur pour le Travel Ban
Après une troisième tentative pour mettre en place l’interdiction d’accès aux États-Unis pour les pays musulmans, Trump a encore vu un juge de la Cour fédérale lui refuser de la mettre en application ce mercredi. Entêté comme il l’est, il va probablement aller en cour suprême pour se faire dire NON.
Les lois fédérales sur l'immigration "n'accordent pas au président un pouvoir discrétionnaire débridé pour faire ce qu'il veut", a déclaré le juge.
Au Canada, les règles pour les hypothèques se resserrent
Les banques vont rendre plus difficile l’accès à un emprunt hypothécaire pour ceux qui ne prendront pas une assurance hypothécaire. Actuellement, si l’emprunteur met 20% de la valeur de la maison, l’assurance n’est pas requise. Dorénavant, l’emprunteur devra subir un Stress test pour savoir s’il sera encore capable de payer si le taux d’intérêt est majoré de 2%.
Confusions dans l’Obamacare
Quelques jours après que Trump ait démantelé par petits morceaux le système de santé, les sénateurs disent ce matin qu’ils seraient parvenus à une entente bipartisane pour stabiliser le système de santé. Ceci arrive que deux semaines avant que les citoyens puissent s’inscrire au régime. Mais ce n’est pas encore présenté au sénat et c’est loin de devenir une loi.
C’est à suivre
Mardi 17 octobre 2017 .
Lundi soir 18h24, Airbus annonce qu’elle va prendre une majorité dans l’avion CSeries de Bombardier.
Une nouvelle majeure pour Bombardier. Airbus a annoncé qu’elle prenait une partition de 50,1% dans la CSeries ce qui pourrait sauver le projet ainsi que Bombardier. Le gouvernement du Québec conserverait 19% et Bombardier 31%. On ne connait pas les détails de l’entente, mais il semblerait qu’aucun des partenaires n’aura à débourser de l’argent.
L’entente va donner une nouvelle vie à la CSeries, qui n’a eu aucun contrat majeur au cours des 18 derniers mois. Airbus va ajouter la fabrication du CSeries à son usine d’Alabama pour desservir les États-Unis, éliminant ainsi la surtaxe de 300%.
Il va rester à voir les conditions de l’entente, et à déterminer si la fabrication aux États-Unis sera suffisante pour contourner la surtaxe américaine.
À 8h12 ce matin, Bombardier, qui a fermé hier à 2,36 a un bid à 2,55.
Nemaska Lithium
Un bel article dans le journal de Québec et de Montréal sur Nemaska Lithium. Il y a l’article de Anne Caroline Desplanques « Autos plus vertes, grâce au Québec » à l’adresse suivante :
Dans le même numéro du 2017-10-16, il y a une présentation dans la rubrique « En 5 minutes », qui explique la production du lithium par Nemaska. Voir le graphique ci-après.
Toujours sur le lithium et sur Nemaska, Gilles Kirouac m’a transmis ces liens suivants.
Un article publié par Network News Wire sur le Lithium dont une partie parle de Nemaska.
Puis il y a eu unne analyse de Gilles où il évalue l’impact positif sur Nemaska du prix élevé du carbonate de lithium.
Donc, le futur pour Nemaska semble assuré, mais les bénéfices tardent à se faire sentir. Peut-être que le marché attend qu’ils commencent réellement leur production, plusieurs investisseurs s’étant fait brûler à quelques reprises dans le passé dans divers secteurs miniers, dont le lithium avec Québec Lithium.
Les Américains font tout pour annuler l’ALENATrump semble n'avoir qu’un seul objectif, soit de déchirer l’accord de l’ALENA. Ils cherchent tous les points qui ne peuvent être acceptés par les autres partenaires et les mettent comme des exigences. Alors, par la suite, Trump pourra mettre le blâme sur les autres partenaires et déchirer l’accord. La liste des exigences s’allonge chaque jour. On pense à :
- L’augmentation du contenu américain sur les voitures.
- L’abolition de la gestion de l’offre comme celle de l’industrie laitière.
- L’élimination du processus d’arbitrage actuelle.
- L’ouverture sur les fournitures gouvernementales.
- La clause du Couché de soleil
- Etc.
L’effet serait contraire l'objectif recherché, s’il y en a un.Comme j’en parlais la semaine dernière, de nombreuses voix du côté américain se sont levées contre le fait d’abolir l’ALENA ce qui aurait des conséquences désastreuses sur l’économie américaine.
Lundi 16 octobre 2017 .
Bombardier veut vendre une partie de ses divisions aérospatiales
Bombardier a besoin d’argent. Après avoir manqué la fusion de sa division de trains avec Siemens, elle aimerait soit vendre ou créer un partenariat pour ses Q400 et ses CRJ. Avec l’impact de la surtaxe américaine de 300%, son gros marché pour sa CSeries vient d’être fermé. Et elle a absolument besoin de capitaux. Ça ne va pas bien à shop.
Tillerson continue de travailler pour des ouvertures avec la Corée du Nord
Le Secrétaire d’État américain continue à travailler pour établir des ponts de communications avec la Corée du Nord. Comme le disait Trump, il peut continuer ses efforts diplomatiques jusqu’à ce qu’une première bombe tombe. On se rappelle que la semaine dernière, Trump avait dit que Tillerson travaillait pour rien et que lui, avait la réponse au problème. Suite à quoi, Tillerson aurait dit que Trump était un idiot.
Le FMI se réunissait en fin de semaine à Washington
Le message qui en ressort, est : « Ne vous réjouissez pas trop vite. »
Le FMI a revu à la hausse les prévisions économiques mondiales pour cette année et pour l’an prochain. Les marchés continuent à progresser, les écarts dans le crédit sont serrés et la volatilité des marchés est basse.
Mais l’IMF dit qu’il n’y a pas de place pour la complaisance. La reprise est un processus toujours en progrès, l’inflation reste en bas des objectifs des banques centrales et la production est léthargique et nombreux sont ceux qui ne ressentent pas les bénéfices de la reprise.
Trump a payé les frais d’avocats de 238 000$ pour défendre son fils
Le comité d’élection de Trump a payé jusqu’à maintenant 238 000$ pour défrayer les frais d’avocats encourus pour l’enquête de l’implication de son fils avec la saga de la Russie. Ces montants ne sont qu’une faible partie des frais juridiques que le parti républicain a payés. D’avril à juin, il y aurait eu un paiement de 677 827$ de payé, de juillet à septembre, il aurait eu 1,1 million de dollars de payés. Au premier trimestre, il y aurait également eu 249 344$. Ce qui donne un total de 2 265 171$.
Il y a des bureaux d’avocats qui doivent aimer la famille Trump. Et fort probablement des membres du parti républicain qui ne la trouve pas drôle.
Problème avec les Kurdes fait monter le prix du baril
Vous vous rappelez, le 25 septembre les kurdes avaient voté pour l’indépendance. C’est une province semi-autonome au nord de l’Irak. Mais il faut savoir qu’il passe plus de 600 000 barils de pétrole par jour dans les pipelines qui traversent ce territoire pour aboutir à la mer à Ceyhan en Turquie.
Mais les forces iraquiennes n’ont pas l’intention de laisser aller le contrôle du pétrole aux Kurdes. Ils sont donc intervenus dans le Kurdistan et il y a 120 000 barils qui sont mis immédiatement à risque. C’est ce qui explique la remontée du prix du baril à 52,17$ ce matin.
Par contre, la forte proportion du pétrole iraquien sort par le sud du pays par le port de Basrah. Voici un petit diagramme qui montre la distribution de l’exportation par les deux voies.
